lundi 26 août 2013

Remise du Prix Émile-Ollivier 2007



http://www.youtube.com/watch?v=TWO99cbcYB8

Parlement de Québec.


Prix Grand-Pré 2006

Le 3 novembre 2006 
Paul Gallant, président du Conseil de partenariat des arts et de la culture de la Nouvelle-Écosse, et le lauréat Alain Raimbault, gagnant du Prix Grand-Pré 2006. Photo : Conrad Poirier
Paul Gallant, président du Conseil de partenariat des arts et de la culture de la Nouvelle-Écosse, et le lauréat Alain Raimbault, gagnant du Prix Grand-Pré 2006. Photo : Conrad Poirier 
Le Courrier de la Nouvelle-Écosse

Alain Raimbault est lauréat du Prix Grand-Pré 2006

Martine Jacquot
Alain Raimbault, poète et auteur pour enfants domicilié à Wilmot, dans la Vallée de l’Annapolis, a reçu le Prix Grand-Pré 2006. Il s’agit d’un prix de 2 000 $ qui a été remis dans le cadre du gala « La création en Nouvelle-Écosse  » à Pictou, le jeudi 19 octobre dernier par Paul Gallant, président du Conseil de partenariat des arts et de la culture de la Nouvelle-Écosse. M. Raimbault est né en France et a émigré au Canada en 1998. Il enseigne à l’école Rose-des-Vents à Greenwood.Il a publié 9 romans jeunesse qui s’adressent à des lecteurs de 7 à 9 ans, et 4 recueils de poésie dont 2 de haïkus. Il a choisi d’écrire pour les jeunes parce que ce genre vient à lui naturellement depuis la naissance de sa fille Arianna en 1996, explique-t-il. « Ça ne prend pas longtemps pour écrire un roman pour enfants, ça ne fait que 12 pages dactylographiées, et il y a une action par chapitre », dit-il. C’est pour son écriture jeunesse que M. Raimbault a été récompensé. Il a écrit une histoire, Herménégilde l’Acadien, qui raconte comment un jeune Acadien a réussi à échapper à la déportation grâce à l’aide de ses amis autochtones. Il a aussi écrit Fortune de mer suite à une commande de la Fondation d’éducation des provinces atlantiques (FÉPA). Plusieurs auteurs des quatre provinces de l’Atlantique ont participé à ce projet, qui devait répondre aux besoins de s’identifier aux lieux que les petits Acadiens connaissent. Les livres commandés par la FÉPA sont au programme des écoles acadiennes. « Je pense que c’est parce que j’ai utilisé l’histoire acadienne dans un de mes romans et la géographie dans un autre que j’ai été récompensé », déclare M. Raimbault. En ce qui concerne son implication dans le milieu francophone de la Nouvelle-Écosse, M. Raimbault indique que comme enseignant dans une école acadienne, il considère qu’il défend au quotidien les valeurs et la culture francophone et acadienne. « Une vie culturelle en français est possible en Nouvelle-Écosse, et la diversité de langues et de cultures peut permettre à chacun de s’épanouir pleinement », a déclaré M. Raimbault en recevant son prix. Pour lui, la culture francophone est avant tout ce qui se passe dans les écoles, tels que les concerts ou pièces de théâtre qui y sont présentés, ainsi que des activités comme celles organisées par l’Alliance française, auxquelles, il précise, il ne peut participer. « Je pense que je vais délaisser un peu le roman jeunesse et tenter de me diriger vers le roman pour adultes, » explique M. Rainbault, dont le premier roman, Roman et Anna, sort cet automne chez HMH Hurtubise à Montréal. « Il s’agit d’une quête esthétique que fait une jeune femme qui se sent laide et qui explore la beauté de modèles masculins et féminins qu’elle découvre au collège d’art où elle prend des cours », confie-t-il. Cependant, il ne veut pas abandonner la poésie, même s’il ne sent pas encore de thématique dominante dans ses écrits. M. Raimbault va se rendre au Salon du livre de Montréal la semaine du 13 novembre, suite à une entente entre le Ministère de l’éducation du Québec et le CPRP. « Il s’agit d’un nouveau programme d’échange entre les deux provinces et c’est la première année. Il y a deux ans que nous y travaillons », conclut-t-il.

Editeur : Le Courrier de la Nouvelle-Écosse

source: 

dimanche 25 août 2013

Marché public à Pointe-à-Callière

Merci au journal Métro qui me publie une photo, prise hier, le 24 août 2013

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/362803/marche-public-a-pointe-a-calliere/#





Le Marché public à Pointe-à-Callière dans l’ambiance du 18e siècle, qui se déroulait le week-end du 24-25 août.

dimanche 11 août 2013

Orientalys

Festival Orientalys
(Autre photo que le joural me publie ce soir)

http://journalmetro.com/uncategorized/356799/festival-orientalys-dans-le-vieux-port/

Photo : 4 photos... Festival Orientalys

http://journalmetro.com/uncategorized/356799/festival-orientalys-dans-le-vieux-port/

Festival Orientalys

Festival Orientalys, vieux port de Montréal, le 11 août 2013
Merci au journal Métro de Montréal pour m'avoir publié cette troisième photo aujourd'hui

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/356803/festival-orientalys/

Under Pressure (2)

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/356796/festival-under-pressure-2/

Deuxième photo publiée:




Under Pressure

http://journalmetro.com/actualites/montreal/356657/art-de-rue-en-action/ 

J'ai pris cette photo Rue Sainte-Catherine, dimanche11 août 2013




Art de rue en action 


 Alain Raimbault/monscoop@journalmetro.com 


Les artistes se sont activés toute la fin de semaine pour créer des oeuvres originales

Une centaine de nouvelles œuvres viennent de faire leur apparition sur les murs des ruelles autour du bar Les Foufounes Électriques. Réalisées dans le cadre du festival Under Pressure, qui avait lieu samedi et dimanche à Montréal, elles resteront en place jusqu’à l’année prochaine.
Existant depuis 18 ans, Under Pressure est le plus vieux festival de graffitis au monde, et l’un des plus gros, rappelle Melissa Proietti, une organisatrice. Les murs ont été couverts de noir une semaine avant l’évènement. Un espace a ensuite été attribué à chacun des plus de 100 artistes préalablement inscrits et sélectionnés, qui ont pu laisser libre cours à leur créativité.
Les résultats sont très variés: les peintures peuvent être en 2D ou en 3D, réalisées à l’aide de divers outils comme le pochoir ou le pinceau, et peuvent représenter des lettres, des animaux ou même le visage de Guy Laliberté (voir galerie photos). «Ici, chacun crée comme il l’entend et n’est pas jugé par les autres», a souligné Marc, alias Esprit. On a tous en commun de vouloir laisser notre marque, de montrer qu’on existe.» Ce graffiteur suisse du collectif TZP, travailleur social de profession, est venu au festival pour la première fois en 1999. Il revient régulièrement en raison de l’ambiance solidaire et familiale qui y règne.
Le festival était l’occasion pour les graffeurs de partout dans le monde de sensibiliser le public à leur art malaimé. «Les citoyens peuvent nous voir en action, nous parler et comprendre notre démarche, a raconté Marc. Ça fait tomber les barrières et diminuer la peur.»
Le festival permet aussi à des rappeurs, des breakdancers et des planchistes de montrer leurs talents.
Un milieu d’hommes
Delphine Delas, artiste de rue française établie à Montréal depuis un an, estime qu’elle n’est pas toujours bien accueillie dans le milieu des graffeurs, encore très «macho». «Il faut jouer du coude, car il y a encore pas mal de préjugés envers les femmes, affirme celle qui peignait des animaux géométriques avec des crayons d’acrylique au festival Under Pressure. Mais une fois que tu as eu la chance de montrer ce que tu fais, tu es acceptée.»
Le fait que les graffitis se réalisent surtout la nuit, pour éviter la police, peut avoir fait peur à plusieurs femmes, souligne Mme Delas pour expliquer que peu d’entre elles soient attirées par ce type d’art. «Les graffitis sont souvent associés aux gangs de rue, un milieu très masculin, note de son côté Marie-Dominique Lahaise, animatrice de la visite «La peau des murs : murales et graffitis» de L’Autre Montréal.

texte de: Roxane Léouzon