dimanche 11 août 2013

Orientalys

Festival Orientalys
(Autre photo que le joural me publie ce soir)

http://journalmetro.com/uncategorized/356799/festival-orientalys-dans-le-vieux-port/

Photo : 4 photos... Festival Orientalys

http://journalmetro.com/uncategorized/356799/festival-orientalys-dans-le-vieux-port/

Festival Orientalys

Festival Orientalys, vieux port de Montréal, le 11 août 2013
Merci au journal Métro de Montréal pour m'avoir publié cette troisième photo aujourd'hui

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/356803/festival-orientalys/

Under Pressure (2)

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/356796/festival-under-pressure-2/

Deuxième photo publiée:




Under Pressure

http://journalmetro.com/actualites/montreal/356657/art-de-rue-en-action/ 

J'ai pris cette photo Rue Sainte-Catherine, dimanche11 août 2013




Art de rue en action 


 Alain Raimbault/monscoop@journalmetro.com 


Les artistes se sont activés toute la fin de semaine pour créer des oeuvres originales

Une centaine de nouvelles œuvres viennent de faire leur apparition sur les murs des ruelles autour du bar Les Foufounes Électriques. Réalisées dans le cadre du festival Under Pressure, qui avait lieu samedi et dimanche à Montréal, elles resteront en place jusqu’à l’année prochaine.
Existant depuis 18 ans, Under Pressure est le plus vieux festival de graffitis au monde, et l’un des plus gros, rappelle Melissa Proietti, une organisatrice. Les murs ont été couverts de noir une semaine avant l’évènement. Un espace a ensuite été attribué à chacun des plus de 100 artistes préalablement inscrits et sélectionnés, qui ont pu laisser libre cours à leur créativité.
Les résultats sont très variés: les peintures peuvent être en 2D ou en 3D, réalisées à l’aide de divers outils comme le pochoir ou le pinceau, et peuvent représenter des lettres, des animaux ou même le visage de Guy Laliberté (voir galerie photos). «Ici, chacun crée comme il l’entend et n’est pas jugé par les autres», a souligné Marc, alias Esprit. On a tous en commun de vouloir laisser notre marque, de montrer qu’on existe.» Ce graffiteur suisse du collectif TZP, travailleur social de profession, est venu au festival pour la première fois en 1999. Il revient régulièrement en raison de l’ambiance solidaire et familiale qui y règne.
Le festival était l’occasion pour les graffeurs de partout dans le monde de sensibiliser le public à leur art malaimé. «Les citoyens peuvent nous voir en action, nous parler et comprendre notre démarche, a raconté Marc. Ça fait tomber les barrières et diminuer la peur.»
Le festival permet aussi à des rappeurs, des breakdancers et des planchistes de montrer leurs talents.
Un milieu d’hommes
Delphine Delas, artiste de rue française établie à Montréal depuis un an, estime qu’elle n’est pas toujours bien accueillie dans le milieu des graffeurs, encore très «macho». «Il faut jouer du coude, car il y a encore pas mal de préjugés envers les femmes, affirme celle qui peignait des animaux géométriques avec des crayons d’acrylique au festival Under Pressure. Mais une fois que tu as eu la chance de montrer ce que tu fais, tu es acceptée.»
Le fait que les graffitis se réalisent surtout la nuit, pour éviter la police, peut avoir fait peur à plusieurs femmes, souligne Mme Delas pour expliquer que peu d’entre elles soient attirées par ce type d’art. «Les graffitis sont souvent associés aux gangs de rue, un milieu très masculin, note de son côté Marie-Dominique Lahaise, animatrice de la visite «La peau des murs : murales et graffitis» de L’Autre Montréal.

texte de: Roxane Léouzon

  

jeudi 20 juin 2013

Série pour 2014

Je vais bientôt commencer l'écriture d'une série pour les jeunes. J'ai reçu l'échéancier (les dates des différentes étapes jusqu'à la publication du premier tome en 2014) aujourd'hui, et j'ai également lu le contrat d'édition. Ça se présente bien. C'est toujours agréable de recevoir un contrat d'édition.

Festival BD Montréal et poésie fin mai début juin 2013

J'ai pris ces photos publiées dans le site du journal Métro de Montréal: 



Cette photo a aussi été publiée dans la version papier du Journal Métro de Montréal le 3 juin 2013 je crois

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/321271/festival-bd-de-montreal-2/



À droite...


http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/321265/festival-bd-de-montreal/



http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/321290/festival-de-poesie-de-montreal/

dimanche 16 juin 2013

FIMA Festival International Montréal en Arts juin 2013

Merci au journal Métro de Montréal qui me publient 3 photos:
2 du FIMA (Festival international Montréal en arts) et une du défi Pierre Lavoie. 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/





et arrivée à La Ronde des 5000 participants des écoles au Grand Défi Pierre Lavoie




mercredi 29 mai 2013

Religion et politique à Saguenay

Journal métro aujourd'hui 29 mai 2013

Religion et politique

À la suite de la décision de la Cour d’appel du Québec, que je respecte, qui permet la récitation d’une prière au début d’une séance du conseil municipal de Saguenay, je me dis qu’on mélange ici le religieux et le politique. Et que cela est dangereux, car à mon avis, les choix religieux doivent rester dans le domaine du privé, et la chose publique doit être profondément laïque.
La foi dans une religion est une affaire personnelle. Ce n’est pas la raison qui dicte la foi. Et je ne voudrais pas voir la foi, quelle qu’elle soit, dicter le politique. Et puis, s’il y a une prière catholique, alors il faudrait aussi penser à toutes les religions qui sont oubliées dans l’affaire.
Moi, personnellement, je suis de la religion du Jedi et je vais peut-être exiger de la part de ma mairesse locale le serment du Jedi avant la réunion du conseil municipal. Que la force soit avec elle!
Alain Raimbault, Longueuil


http://journalmetro.com/opinions/courrier-des-lecteurs/318434/courrier-des-lecteurs-du-29-mai-2/

vendredi 10 mai 2013

identité québécoise


Le journal Métro de Montréal publie mon idée sur l'identité québécoise. 10 mai 2013

Identité en évolution

Je lis dans un célèbre journal en ligne qu’un immigrant sur cinq au Québec est incapable de soutenir une conversation en français. Bon, il y en a quand même quatre sur cinq qui le peuvent, ce qui n’est pas si mal.
Les nouveaux immigrants allophones que je rencontre ici suivent tous des cours de francisation pour adultes et ils suent sang et eau pour apprendre notre belle langue. Leurs enfants qui vont en garderie ou dans des classes d’accueil apprennent beaucoup plus vite le français que leurs parents. Je constate à mon modeste niveau, celui de témoin, que la francisation des familles fonctionne, il n’y a pas péril en la demeure.
Je voudrais aussi dire aux penseurs du PQ que l’identité québécoise est en évolution, voire en révolution. Plus le temps passe et moins les Québécois ont d’ancêtres au Québec. Il faudrait peut-être penser qu’un Québécois qui parle deux ou trois langues, qui appartient peut-être à une minorité visible, qui est né ici ou ailleurs est un Québécois. La géographie, la variété des cultures, nos imaginaires nous réunissent. Nos familles sont presque toutes issues de l’immigration, ne l’oublions pas. Avant la brutale colonisation par les Européens, cette terre était entièrement occupée par des autochtones.
Si nous voulons devenir un grand pays indépendant, soyons-le ensemble, quelle que soit notre origine, et soyons fiers de bien parler, de créer, de rêver dans notre belle langue française.
Alain Raimbault,  Longueuil


lundi 29 avril 2013

Photo Manif site du journal Métro de Montréal 27 avril 2013


Le journal Métro de Montréal m'a publié une photo de la manif de samedi dernier contre la réforme de l’assurance emploi du gouvernement hyper conservateur de S. Harper. Photo publiée sur le site du journal, pas dans l'édition papier.

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/300373/manifestation-contre-la-reforme-de-lassurance-emploi-2/#




mardi 23 avril 2013

Plus de lectrices non plus


En cette Journée mondiale du livre et du droit d’auteur, le journal Métro de Montréal daté du 23 avril 2013 m'a publié, aujourd'hui donc, un petit texte où je défends le livre... forcément. Mon texte s'intitule: 

Plus de lecteurs


Que vois-je? Un grand quotidien montréalais qui lance une édition gratuite disponible sur tablette numérique… Je me demande : l’accès de plus en plus facile à l’information sur des écrans nous rend-il stupides? À présent, la nouvelle écrite est presque toujours présentée de manière très courte. Pas le temps de penser. On reçoit l’information de face et on passe à la suivante. Le document audiovisuel que nous allons consulter sur des écrans lumineux tout en nuances de gris et d’autres choses pour découvrir l’actualité du moment, voire de la dernière minute ou des dernières secondes, est lui aussi très court, souvent habillé d’images percutantes et d’une musique dramatique ou guillerette, c’est selon. Nous sommes vaguement informés et hautement divertis. À force de vouloir donner dans le bref, dans le sensationnalisme, allons-nous encore savoir, allons-nous encore vouloir lire de longs textes? On lit encore des livres dans le métro. J’en témoigne. Ces choses en papier qui viennent des arbres et des idées. Qui proposent de longues et lentes et profondes phrases pour se coucher moins idiot le soir. Pour apprendre des trucs. La tablette numérique n’a selon moi pas encore tué le livre. Mais elle est peut-être en train de tuer la lecture du lecteur au long cours. Et l’écrivain.
Du pain et des jeux, disait César, et le peuple est content. Le pain, je ne sais pas, mais les jeux, on les a.
Alain Raimbault, Longueuil 

lundi 22 avril 2013

Jour de la Terre Photographies

Le journal Métro de Montréal m'a publié 3 photos aujourd'hui, une en page 3 de l'édition papier, juste derrière Will Smith avec son fils, et deux sur le site, à la page monscoop. Elles illustrent la marche pour la Terre que nous avons sauvée hier avec 50000 personnes dans les rues de Montréal. Il faisait beau. 

http://edition.pagesuite-professional.co.uk/digital_Launch.aspx?ID=5aa10030-5d60-4a7d-942c-16669acfd4c2



http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/296486/marche-du-jour-de-la-terre-2/



http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/296477/marche-du-jour-de-la-terre/



Hier, j'ai pris 650 photos de cette marche, et cent de la petite promenade qui s'en suivit. Le numérique, c'est fantastique.

mardi 16 avril 2013

Poésie...

Je viens d'envoyer une suite de poèmes écrits en hiver pour le concours de poésie de Radio-Canada.
J'ai envoyé mes poèmes: Cités de sable, au comité de lecture de la revue Legs et littérature.
Le 26 avril 2013, je devrais rencontrer Alain Mabanckou au festival Métropolis bleu.
Je suis aussi finaliste au prix Hackmatack dans la catégorie documentaire en français pour mes grands z'inventeurs.
À part cela, je lis des livres d'auteurs haïtiens. Je n'écris pas vraiment. Je lis.

dimanche 17 mars 2013

Site du journal Métro de Montréal 3 photos

Le journal Métro de Montréal vient de me publier 3 photos sur leur site: 2 sur la manifestation de vendredi 15 mars 2013 dernier contre les brutalités policières, et 1 sur la première visite, gratuite, du nouveau Planétarium hier samedi 16 mars 2013. Les voici: 

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/276465/manifestation-contre-la-brutalite-policiere/





http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/276474/manifestation-contre-la-brutalite-policiere-2/#



http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/276492/premiere-visite-du-planetarium/




mercredi 27 février 2013

3 photos de la manif d'hier

Le journal Métro de Montréal m'a aussi publié 3 photos supplémentaires sur son site de la manifestation d'hier. Rue Saint-Denis, les trois. Je les ai prises en respirant joyeusement du gaz lacrimogène.

http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/264975/manifestation-etudiante-du-26-fevrier-12/





http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/264969/manifestation-etudiante-du-26-fevrier-11/



http://journalmetro.com/dossiers/mon-scoop/264966/manifestation-etudiante-du-26-fevrier-10/





À la Une du Métro

Ma première Une (la photo en bas)

Journal Métro de Montréal, le 27 février 2013

http://edition.pagesuite-professional.co.uk/digital_Launch.aspx?ID=5aa10030-5d60-4a7d-942c-16669acfd4c2

mercredi 9 janvier 2013

Des autochtones

Publié ce mercredi 9 janvier 2013 dans le courrier des lecteurs de Métro (journal gratuit que je lis dans le métro). J'ai écrit ce courrier hier

http://journalmetro.com/opinions/courrier-des-lecteurs/218600/courrier-des-lecteurs-du-9-janvier/

Des autochtones

Lorsque je suis arrivé au Canada dans les années 1990, j’ai découvert avec stupeur et incompréhension qu’il existait deux catégories de Canadiens : celle des autochtones (les personnes d’origine amérindienne, les Métis et les Inuits) et les non-autochtones, aussi nommés les Blancs! Ces deux groupes ont un pays en commun, mais pas toujours le même territoire, et pas toujours les mêmes droits. J’ai tout de suite vu qu’une forme de racisme (scandaleux, bien sûr) s’exerçait parfois contre ces autochtones. J’ai découvert l’extrême pauvreté de certaines réserves, accompagnée des problèmes sociaux qui en découlent, ce qui m’a choqué, bien évidemment. Lorsque j’ai étudié l’histoire de la colonisation de la Nouvelle-France, j’ai appris que les grands perdants étaient les ancêtres de ces mêmes autochtones.
J’ai appris que les gouvernements des différentes provinces avaient entrepris d’éradiquer la culture de ces mêmes personnes au moyen de la scolarisation forcée en français ou en anglais, cela mené tambour battant par l’église chrétienne. Sans parler des déplacements forcés de villages entiers. Perte du territoire ancestral, perte de la langue, perte de la culture, perte de la spiritualité d’origine. Voilà le résultat. Malgré cet acharnement institutionnel, les autochtones ont su préserver un peu de leur âme. À la fin du siècle passé, le gouvernement fédéral tenta de faire son mea culpa et accorda des droits aux autochtones.
Bon. Ceci est la situation que je pense comprendre. Et je reste stupéfait par la présence de deux catégories de personnes dans un même pays. Diviser les citoyens, c’est créer des conditions favorables à l’éclosion de la jalousie, du racisme. L’égalité ne serait-elle pas une valeur canadienne? En France, où j’ai brièvement étudié le droit, j’ai appris un principe : la loi a une valeur universelle.
Cela signifie qu’elle s’applique à tous (à l’intérieur d’un même pays). Eh bien, pas ici. Je pense que les autochtones, si le gouvernement fédéral ne cesse pas de les traiter comme une sous-catégorie de la population, seront toujours les perdants. J’ignore si le fait de supprimer les réserves (j’imagine que cette idée serait loin de faire l’unanimité) et de n’appliquer qu’une seule et même loi à toutes et à tous au Canada, en respectant les deux paliers de gouvernement, serait une solution. Tout en préservant bec et ongles ce qui subsiste des cultures autochtones, car elles font partie de la richesse de l’humanité. Lorsqu’une langue meurt, le monde entier devient muet.

Alain Raimbault, Longueuil